« Parler à un psy? C’est pour les faibles »… mais moi, j’ai parlé, et ça m’a sauvé.
« La dépression? C’est pour les autres »… mais moi, je l’ai vécue, et j’ai choisi de guérir.
« Prie seulement »… oui, je prie, et je vois une thérapeute.
« Les immigrants sont résilients »… je ne suis pas faible parce que j’ai choisi de demander de l’aide.

Changer la narration, ce n’est pas renier nos valeurs. C’est transformer les tabous en force, guérir les blessures et bâtir une société où la santé mentale est reconnue, respectée et protégée. C’est affirmer que ta voix compte — et qu’elle est nécessaire.